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Dean Koennings - La vie est une vacherie Life After The End :: Les Survivants :: Enregistrement des survivants :: Archive des enregistrés
 
Dean Koennings
# Dean Koennings - La vie est une vacherie Mar 31 Mai - 18:41
KOENNINGS Dean
Groupe : Militaire
Lieu de vie : District Ashes
Rôle : 2nd lieutenant

Proches: Jay et Oli' en vie au District Ashes

Ancien métier : Tout juste promu officier de patrouille
Originaire de : Milwaukee, WI
Âge: 24 ansorigine: Américaingenre: hommeanniversaire : 21/07Orientation sexuelle: ne sait pasSituation conjugale: célibataire


Aptitudes et atouts de survivant
Porteur Sain : Oui
Le sait-il ? Oui

Ses armes : Bâton télescopique & Glock 22(.40 cal.)

Sport pratiqué : Police combat training pendant 5 années à 19 ans. Technique de self-défense dans un même temps.

Autre précision: Adore se battre, mauvaise habitude prise dans sa jeunesse.


Apparence

Carnation : Blanc
Taille : 1m85
Corpulence | poids : 77kg
Cheveux: Marrons
Yeux: Marrons
Signes distinctifs: Cicatrice sur la lèvre à gauche, très légère. Tatouage sur les côtes à droite et sur la cheville droite.
Autre: Il aurait bien voulu garder son bel uniforme mais il se balade le plus souvent comme lorsqu’il était en civil : sweat à capuche, pantalon multipoches agréable à porter. Il a quand même garder sa ceinture dans laquelle il range son Glock et son bâton télescopique, ainsi qu’un taser qu’il n’utilise jamais.


Personnalité


Catégorique – Déterminé – Tête de mule
Pour résumer tout ça, Dean est né sans crier. Le médecin lui a bien donné la fessée réglementaire, les infirmières ont essayé de le stimuler en lui chatouillant le dessous des pieds, rien à faire. A peine venu au monde, il restait déjà sur ses positions, s’il avait décidé quelque chose, il s’y tenait. Que ça plaise ou pas, que ça le mette dans une situation désagréable ou non. Il n’hésitera pas, s’il a une idée en tête c’est que c’est celle qu’il va suivre, peu importe comment ça finit.


Ouvert d’esprit – Facile à vivre – Drôle
Malgré son caractère qui peut paraître compliqué, au final Dean est quand même le bon copain. On peut compter sur lui, s’il a décidé que vous étiez son ami c’est déjà gagné, vous n’aurez rien à payer, rien à faire. Les efforts, si vous voulez en faire, seront considérés comme étant pour vous. Dean ne cherche pas à modifier, moduler, améliorer les gens, s’il vous aime ou apprécie, c’est parce que vous êtes comme vous êtes. Il fera bien quelques blagues, ça l’amusera de vous piéger dans des farces stupides, il pourra même se moquer un peu de vous, mais il attend la même chose, l’autodérision lui a sauvé la vie et l’humour par la même occasion… Même si ça l’a parfois mené à certaines bagarres. En tout cas, Dean ne vous en voudra jamais pour vos actions, vous faites ce que vous avez à faire et lui pareil.


Curieux – Passionné – Volontaire
Peut-être parce qu’on lui a toujours dit qu’il finirait à la rue, sans rien, qu’on lui a toujours martelé dans le crâne que c’était un paria, un parasite dans la société mais Dean a toujours eu la volonté d’apprendre. Sur tout et n’importe quoi, tant que ça lui apporte des informations, tant que ça l’aide à comprendre un peu plus les choses. Les connaissances, autant la théorie que la pratique, en savoir un maximum sur tout un tas de sujets, ça c’est son truc. Il pourra autant vous parler de musique classique que de mécanique auto. Pour lui, se spécialiser dans un seul sujet, c’est manquer la chance d’en apprendre sur un autre qui serait complémentaire. Tout est utile, tout peut servir. Si vous lui proposer une visite dans un musée, il sera le premier à être partant, si vous lui dites que vous avez besoin de plancher sur un sujet complexe, il n’hésitera pas à vous proposer son aide s’il le peut et surtout il sera attentif, il apprendra. C’est sa force.


Bagarreur – Tête à claque – Indiscipliné
On entre dans une partie de lui que Dean a toujours voulu contrôler. Malgré sa volonté de fer, même s’il a tout tenté comme la respiration, la méditation, son assistante sociale lui a même fait voir un psy, ce psy lui a donné des médicaments, tout ça n’a en rien empêché les bagarres, les crises de colère. Son adolescence a été guidé par la violence, parce que c’était la seule chose qu’il avait connu jusque là. Depuis son entrée dans la police, ce côté de lui s’est un peu calmé, mais s’il avait continué sa carrière, il le sait à coup sûr, il aurait fini par tabasser un suspect si jamais ce dernier se mettait à mal lui parler. Pareil pour les ordres, il les accepte un peu mieux qu’à une autre période de sa vie où si vous osiez seulement lui demander de ranger un peu sa chambre, il y mettait encore plus le bordel, par pur esprit de contradiction et par allergie aux gens qui essayaient de diriger sa vie à sa place.


Passé

JUILLET 2011:
Dean Koennings, 4kg300 53cm, un bébé en pleine forme qui ne fait pas un bruit. L’ambiance à l’hôpital dans ce service maternité est agréable, tout le monde célèbre les naissances, mais pas les parents Koennings. Eux se regardent en chien de fusil, la mère sur le lit, épuisée, le père sur le fauteuil dans le coin, la mine dégoûtée. Ce n’était pas prévue, ils n’ont que 17 et 18 ans, leurs parents à eux vont les renier, c’est certain. Comment vont-ils payer la nourriture, les couches, et tout le reste dont ils n’ont même pas idée ?


FEVRIER 2019:

La salle de classe est silencieuse, le soleil passe à travers les stores à moitié baissé, les cris des camarades de classe se font entendre dans la cours de récréation. Dean est assis à sa place, il attend en observant le prof qui ne fait que regarder sa montre puis regarder les papiers qu’il a sur son bureau. La mère entre enfin, essoufflée, s’excusant. Elle fait toujours comme ça, mentir aux gens pour attirer la sympathie, sauf qu’avec Mr. Sonderberg ça ne marche pas, il l’a fait venir pour une très bonne raison.
« Madame Koennings, asseyez-vous je vous en prie. Vous savez pourquoi je vous ai fait venir ?

- Il a encore dû créer des ennuis, je suis désolée on essaye vraiment à la maison vous savez ? On fait ce qu’on peut pour lui donner une bonne éducation et…

- La bonne éducation passe-t-elle par les mauvais traitements ? »

Dean s’en fiche du reste de la discussion, il sait comment ça va finir. La mère va s’en tirer à bon compte, sourires charmeurs, promesses de changement, bref rien qui n’aidera Dean. A la maison ce sera sa faute si le prof a vu les bleus et les bosses, il en aura d’autres pour comprendre son erreur.Il a 8 ans mais il ne se fait plus aucune illusion, l’innocence des enfants il n’est pas sûr de l’avoir déjà connu. Il sait que s’il se fait remarquer, qu’il fait du bruit, qu’il répond à ses parents, c’est un coup de poing assuré voire plusieurs. Est-ce que les autres enfants vivent la même chose ? Il n’a pas demandé, pour lui c’est évident que oui, pourquoi ses parents feraient-ils comme ça sinon ?


AOÛT 2023:

Encore une salle silencieuse sauf que cette fois on entend rien dehors, en face de Dean ce n’est pas un prof mais une assistante sociale. Son assistante sociale à lui, qui vient encore pour un problème qu’il a causé. Se battre c’est mal, il faut communiquer quand on a un désaccord, s’il continue comme ça jusqu’où il va aller, Dean connaît par cœur toutes ces phrases, ça fait depuis la fin de l’école primaire qu’il les entend en boucle à chaque fois qu’il s’énerve un peu trop. Sauf qu’encore une fois, face à Miss Paige, il ne dit rien parce que même sans ses parents il ne répond jamais à un adulte, du moins pas encore. Le soucis c’est que la rage monte de plus en plus, parce qu’il s’est fait deux amis Jay et Oliver, eux ils lui ont dit que tous les parents n’étaient pas comme ça, donc maintenant Dean sait. Il est au courant que ses parents sont des merdes et que les adultes sont décevants.Il a 12 ans, il n’est plus temps de penser à jouer ou à retrouver sa candeur d’enfant. Maintenant si un autre élève l’emmerde, il le frappe, et il s’y connaît en coups. Il en a suffisamment pris, il sait où en faire pour ne laisser aucune trace, il sait comment s’y prendre pour faire vraiment mal.


NOVEMBRE 2025 :

14 ans, l’âge bête. Dean y est depuis un bon moment dans l’âge bête finalement, il n’a pas évolué ou en tout cas c’est ce qu’il croit. Il s’énerve toujours trop vite, il frappe toujours trop fort, Jay et Oliver le suivent aveuglément vu qu’il a réussit à les sortir d’histoires louches. C’est un peu le problème quand on vient d’un quartier merdique au fin fond du Wisconsin, il y a ceux qui te crachent à la gueule parce que tu es issu de parents ratés et que tu le seras aussi, puis il y a Jay et Oli qui trouvent son côté dangereux et imprévisible super cool. Alors ils sortent tard le soir, eux se font disputer par leurs parents aimants et attentifs au bien-être de leur gosse, Dean voit à peine son père qui passe plus de temps en prison qu’autre chose, sa mère reste assise ou allongée sur le vieux canapé élimé. Rien de nouveau sous le soleil, il suit exactement le même chemin que les gens s’attendent de le voir suivre. Personne ne lui dit qu’il pourrait faire mieux, être mieux, à part Miss Paige évidemment. Elle lui propose des alternatives, Dean lui demande quand est-ce qu’il pourra partir, même le foyer pour jeunes lui fait plus envie.

«  - Ecoute, si je parle à ta mère peut-être qu’on pourrait envisager une émancipation, qu’est-ce que tu en dis ?

- Votre truc, ça m’aidera pour vivre loin d’elle et plus jamais la revoir ?

- Oui, enfin… Ce serait quand même mieux si tu essayais de communiquer avec elle même une fois émancipé non ? Garder le contact avec ses parents c’est mieux, on regrette après. Ça reste la famille »


Discussion close, Dean ne s’ouvrira pas plus que ça. Il parle seulement lorsque c’est nécessaire avec les adultes, et le moins longtemps possible. Elle est mignonne Miss Paige, avec ses lunettes rondes et son écharpe qui change de couleur toutes les fois où il la voit. Toute en couleur mais complètement à côté de la plaque, on ne peut pas communiquer avec une toxico. Les discussions avec sa mère se résument à savoir si elle a mangé, pas besoin de lui demander si elle s’est lavée vu qu’il le voit et le sent, ensuite il l’allonge sur le canapé pour qu’elle dorme avec deux cachets d’oxy. Dean en pique quelques uns, il les revend ou alors il en prend un avec Jay et Oli, l’effet est marrant, il comprend un peu sa mère et pourquoi elle s’enfonce là-dedans.


JUILLET 2028 :

Pas de grand mentor qui lui ferait changer de comportement ni de rencontre qui le pousse à être meilleur que lui. Ça c’est pour les jolies histoires dans les livres, tu commences en bas de l’échelle et tu remontes grâce à un vieux gars que tu as rencontré dans le bus et qui t’a raconté sa vie, qui t’a tellement inspiré que tu changes du tout au tout et que tu deviens un homme accompli ayant traversé les épreuves de la vie. Super.
Sauf qu’il en a rencontré des gens qui ont philosophé sur la possibilité de réussir malgré les obstacles, Miss Paige lui a fait suivre des séances de thérapie d’abord tout seul pour gérer sa colère, puis en groupe pour lui montrer qu’il n’est pas le seul à souffrir. Dean sait déjà tout ça, il n’avait juste pas encore décidé quand il voudrait changer de comportement. Il s’est fait un bon paquet de fric avec les cachets de sa mère, de quoi partir loin dans un autre état d’ailleurs. Le Wisconsin il le connaît, c’est bon, il en a fait le tour.
Jay est parti à Washington, c’est là où il ira.

Une tape sur l’épaule, un sourire insolent et Dean monte dans le bus après avoir dit au revoir à Oliver qui les rejoindra pour ses études.


MARS 2030 :

C’est maintenant que le changement débute. Dean est arrivé à Washington, il a vécu avec Jay pendant un moment, il a eu l’occasion de voir comment une famille à peu près saine vivait et c’est là qu’il a décidé qu’il devait se remettre sur pieds. Le passé mit au placard, sa vie dans la capitale n’a pas trop mal commencé, il s’était trouvé un job dans une supérette, rien de transcendant juste de quoi compléter un peu plus ses économies.
Un vol à main armé. Voilà comment s’est fini son premier boulot, le mec avait vraiment pointé une arme sur lui comme si la menace avait déjà inquiété Dean. Bref, son patron fermait boutique, le quartier était trop mal famé.
Pour Dean, le début d’une nouvelle vie commence. Il a vu les flics à l’œuvre, et ils ont une autre classe que les bouseux du Wisconsin, alors il s’inscrit à l’école de police dès qu’il a ses 18 ans, le jour même. Il commence sa formation, les ordres l’agacent mais il encaissent, il ne laisse rien passer. Tout doit être fait dans l’excellence, il ne dit rien de son passé un peu trouble. C’est un tout nouveau Dean, plus le gamin insolent qui s’amusait à piquer des paquets de chips au Target du coin ni qui revendait de l’oxy pour s’amuser avec ses potes.
Il étudie, il s’y met à fond. Une fois qu’il a décidé quelque chose, c’est que ça doit être fait, c’est un peu grâce à son père finalement qu’il a cette mentalité mais il ne l’avouera jamais.

Après deux ans, il peut enfin annoncer à Jay et à ses parents qu’il a réussit, qu’il peut officiellement patrouiller et arrêter les méchants, comme quoi l’innocence était quand même un peu là. Son boulot se résume à mettre des amendes, faire la paperasse de ses collègues, aider à la surveillance des écoles primaires. Il apprend qu’il doit attendre ses 21 ans pour être en patrouille, et finalement devenir un vrai flic. Il encaisse encore, même si l’annonce le pousse à aller plus souvent dans la salle de sport pour taper sur des sacs plutôt que sur ses supérieurs.



SEPTEMBRE 2032 :

Le vrai taff commence. Évidemment, il n’est pas seul, il est en équipe avec un mec qui a déjà fait ses preuves, qui lui parle à peine mais qui sous ses airs de vieux flic grincheux est plutôt marrant. Dean s’entend bien avec tout le monde, c’est une force, il y arrive à force de blagues et de jeux de mots un peu nazes. Ses collègues s’accordent à dire que c’est un petit génie, certains s’agacent parce qu’il suit un peu trop le protocole et qu’il récite un peu trop souvent le manuel. Ils s’y feront.

En attendant, avec l’officier Lane ils vadrouillent, ils arrêtent des petits cons qui comme Dean volent un peu tout et n’importe quoi, juste pour le goût du risque. Même avec eux, il arrive à discuter, il les connaît par cœur, il a été l’un d’eux.
D’autres sont bien moins sympas, des adultes qui n’ont connu que le crime, qui détestent la police, et qui s’amusent à les insulter de loin… Courageux mais pas téméraire.
Dean aime son job, malgré les inconvénients, malgré les horaires chiants, il assume son choix pleinement. Le seul gros problème c’est qu’il doit aussi gérer les drogués, les alcooliques. A chaque fois qu’il passe les menottes à un type proche de l’overdose, dès qu’il embarque une femme qui sent la pisse et la téquila, il a une pensée pour sa mère. Il fait ce qu’aurait dû faire les flics de Milwaukee.

C’est à l’hôpital qu’il les emmène, là où devrait être sa mère depuis un bon moment. Et c’est là qu’il rencontre le Dr. Carolyn en 2033, il ne l’avait jamais vu avant. Elle est jolie, elle est sympa aussi… Enfin si on veut. Elle est un peu franc parlé mais c’est un bon médecin, elle sait ce qu’elle a à faire, exactement comme Dean. Elle gère les énervés, ceux qui arrivent avec de légères blessures dont on ne dira pas qu’elles viennent des flics qui les ont arrêté. Ils sont tombés pendant qu’on leur mettait les menottes, l’accident bête.
Des fois ils discutent vaguement entre les cris indignés des suspects, rien d’exceptionnel, juste histoire de passé le temps. Elle s’amuse à l’appeler « le gosse » même si la différence d’âge n’est pas énorme, Dean joue le jeu et l’appelle « Mamie ». Ce n’est pas ce qu’on appelle une grande amitié, mais au moins ça fait une connaissance de plus dans une ville aussi grande.



NOVEMBRE 2034 :

Les districts dans un état pitoyable, les mensonges du gouvernement qui sortent au grand jour, New-York bombardé. Tout ça, Dean ne s’y attendait pas mais il n’est pas surpris pour autant. Jay et Oli s’inquiètent de l’état du pays, des décision du président, de leur avenir à tous. Dean leur répète en long et en large que les adultes sont toujours aussi décevants, que rien ne change, il s’entête à croire que tout ça c’est n’importe quoi, juste pour inquiéter la population alors que c’était déjà compliqué de les gérer.

Travailler à la police ne l’a pas endurci, il savait déjà l’état des rues. Finalement, cette pandémie, c’est juste une merde de plus à devoir gérer. Ils en parlent de temps en temps avec Carolyn par message, il a réussit à avoir son numéro, ce charmeur. De son côté, elle préconise la surveillance un peu plus accrue des cas, elle lui dit de faire attention.


DECEMBRE 2034 :

Dean a bien été obligé de rejoindre ceux qui tentent de survivre. Il n’est pas officiellement dans l’armée, pas encore, mais il aide comme il peut, il gère les citoyens, il fait de son mieux. Il surveille Jay et Oli aussi, parce que c’est ce qu’il a toujours fait.
Au moins, ils voient du pays, ça c’est le côté optimiste de Dean qui parle parce qu’intérieurement il se demande s’il ne vaudrait pas mieux piquer un bateau et partir. Les frontières sont bloquées, ça il le sait, mais quelques rafales avec un automatique piqué à l’armée et ce serait réglé… Ça c’est son côté tête à claque.



JANVIER 2035 :

San Francisco, la ville sur la baie. C’est bien loin de son Wisconsin natal et pourtant Dean sourit. Il patrouille dans les rues aménagées d’un district qui tient à peu près debout. Il fait quelques blagues en cachant des chaussettes ou en prenant une expression de terreur quand il parle à un militaire, juste pour s’amuser. C’est un petit con, il le restera, peu importe la situation du pays. Lui, la misère et la violence, il n’a connu que ça. Sa mère lui répétait souvent une phrase, complètement affalée dans son canapé et à moitié explosée par tout ce qu'elle prenait

"Rappelle toi bien une chose Dean, la vie c'est une vacherie".


Son sourire et ses farces s’effacent vite quand il rentre d’une mission à l’extérieur avec le bras en sang, il s’est fait mordre simplement par faute d’inattention. Il va crever, c’est sûr.
La quarantaine, Dean la voit à peine passer à travers le brouillard de sueurs, de vomissements, de douleurs insoutenables. Il demande à plusieurs reprises qu’on l’abatte, ce sera plus simple, ça fera un de moins à s’occuper.
Au bout d’une semaine et demi, il finit son assiette en à peine deux minutes. Il a la dalle, il a envie de partir courir dehors.

Il a juste la rage, ça c’est son côté bagarreur, et il veut bien faire comprendre à tous ces débiles qui mordent n’importe qui, que là ils ont mordu la mauvaise personne.




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Dean Koennings
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Aventures : 113
Lieu de vie : District Ashes

InvitéInvité
# Re: Dean Koennings - La vie est une vacherie Mar 31 Mai - 19:54
Hello toi ! Un militaire ?! Trop bien, j'ai hâte d'avoir la suite de son histoire  Dean Koennings - La vie est une vacherie  1f60a
Bon courage pour l'écriture !!
Anonymous
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Zhana KalininL'Alien
# Re: Dean Koennings - La vie est une vacherie Mer 1 Juin - 11:16
Re bienvenue mon frérot ! Plus que l'histoire a écrire, t'as charbonné Smile Ça fait plaisir d'avoir un nouvel homme fort sur le forum :3
Courage !
Zhana Kalinin
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Lieu de vie : Golf Club



Dean Koennings - La vie est une vacherie  Qzuq
Elizabeth Warren
# Re: Dean Koennings - La vie est une vacherie Jeu 2 Juin - 9:11
Re re re bienvenue et bon courage pour ta fiche Calvinou ! Very Happy
Elizabeth Warren
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Dean Koennings
# Re: Dean Koennings - La vie est une vacherie Jeu 2 Juin - 15:50
Merci vous trois je ressent un truc p
Dean Koennings
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Lieu de vie : District Ashes

InvitéInvité
# Re: Dean Koennings - La vie est une vacherie Dim 5 Juin - 11:30
Re-re-ReBienvenue Calvinou 😊 J'espère que ce personnage ne finira pas entre les griffes des zombies 😜
Anonymous
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Patient ZéroLa mort
# Re: Dean Koennings - La vie est une vacherie Mar 7 Juin - 14:55
Bienvenue sur L-A-T-E

Fiche validée


Bon, tout me semble cohérent et correct. Le règlement a bien été signé. Du coup, je te valide et je te rajoute ta couleur verte.

Maintenant que tu es un survivant de San Francisco, voici les prochaines étapes :

• Compléter ton profil et y mettre le lien de ta fiche de présentation

• Générer ta feuille personnage et remplir les premières cases (armes, sports et compétences utilitaires)

• Enregistrer ton avatar dans le bottin qui est ici

• Compléter les petits registres :
-le registre des membres
-le rôle de ton personnage dans son groupe [à enlever si c'est un solitaire]
-la date d'anniversaire de ton personnage, d'ailleurs essaye de ne pas oublier de lui rajouter un an quand ce dernier arrivera !
-l'enregistrement de ton animal [à enlever s'il n'y a pas d'animal]

Faire ta fiche de compétences en n'oubliant pas d'être raisonnable !


Après cela ton aventure commencera, tu pourras créer ton journal et regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire. N'hésites pas à répondre aux demandes existantes avant de créer la tienne ou à demander directement dans la zone dédiée à ça du discord.

Bon jeu à toi !
Patient Zéro
en bref
Aventures : 88
Lieu de vie : Partout

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# Re: Dean Koennings - La vie est une vacherie
en bref

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