Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

Ethan Ledger | Donner des titres, c'est ennuyeux. [Reboot de Howard] Life After The End :: Les Survivants :: Enregistrement des survivants :: Archive des enregistrés
 
Ethan Ledger
# Ethan Ledger | Donner des titres, c'est ennuyeux. [Reboot de Howard] Lun 18 Avr - 19:00
Ethan Ledger
Groupe : Les Troqueurs
Lieu de vie : Le Motel des Troqueurs (depuis mi-décembre 2036)
Rôle : Collecteur

Proches: Deborah, ma meilleure-amie.

Ancien métier : Plusieurs petits-boulot, le dernier c'était à Domino's. Alors ?
Originaire de : Portland, enfin, près de Portland..
Âge: 27 ansorigine: Américaingenre: Hommeanniversaire : 02/04Orientation sexuelle: HétéroSituation conjugale: Célibataire


Aptitudes et atouts de survivant
Porteur Sain : Non
Le sait-il ? Non

Ses armes : Fusil à double canon et pied-de-biche

Sport pratiqué : Aller à la salle de temps en temps pour faire genre d’être balèze pendant 6 années à partir de mes 18 ans.

Autre précision: à vous de juger si vous pouvez rajouter une information utile. C'est aussi l'endroit parfait pour signaler la propriété d'un véhicule ou d'un animal (attention, c'est coûteux et le staff s'accorde le droit de refuser)


Apparence

Carnation : Blanche.
Taille : 1m77.
Corpulence | poids : 70kg.
Cheveux: Blonds.
Yeux: Bleus.
Signes distinctifs: cicatrices ? tatouages ? tâche de naissance ?
Autre: Il essaie d’allier l’esthétique et le pratique mais ça ne fonctionne pas toujours..


Personnalité
Ethan est quelqu’un de fondamentalement bon. Mais dans le terme fondamentalement, il y a le mot fond. Et c’est bien là qu’il cache tous ses sentiments depuis l’apocalypse. Enfoui au plus profond de lui-même, s’obligeant à passer pour un type impassible, indifférent à toutes choses.. Certains pourraient même dire que c’est un connard, ceux qui ne s’arrêtent qu’à ce qu’il laisse volontiers paraître. Il agit de la sorte par nécessité, parce que c’est probablement ce qu’il y a de mieux à faire. Pourtant..

C’est seulement si on creuse un petit peu qu’on peut découvrir un mec un peu plus humain. Il n’est pas aussi insensible et salaud qu’il voudrait ou qu’il pense l’être. Sa relation avec “ les autres “ reste conflictuelle. Il voudrait aimer les gens et il sent même qu’il a cette facilité à se rapprocher des autres survivants qu’il croise, en l’humanité, mais.. S’il n’a pas trop de mal à accorder sa confiance aux inconnus, il a cependant souvent été pris pour un con, utilisé et laissé pour compte. Cette méfiance s’est manifestée depuis que les morts ont décidé d’arrêter de mourir. Mais pas chez lui. C’est en réalité de Déborah qu’il tire cette méfiance, ce repli sur lui-même. On pourrait même considérer qu’il a deux facettes diamétralement opposées l’une à l’autre. Il y a le Ethan seul et le Ethan accompagné de Deborah. Lorsqu’elle est dans les parages, il calque un peu sa personnalité sur elle. Ils n’apprécient pas trop les inconnus, les militaires, Deborah considère que tout le monde est un potentiel ennemi.

Si dans un premier temps il a cherché à jouer les bons samaritains, à faire passer son humanité avant tout.. Il a très vite subi ce qu’il craignait de subir. C’est pour cela qu’il a commencé à agir comme sa meilleure amie, par résignation.. Mais chassez le naturel et il revient au galop. Seul, Ethan s’ouvre beaucoup plus facilement, il est gentil et avenant, on pourrait presque dire qu’il est serviable..

De ce fait, Ethan est obligé d’aller à contre-courant de ses convictions et d’agir comme ceux qu’il méprise au fond de lui.

Depuis que tout a changé et que c’est vraiment du chacun pour soi, il se laisse porter par le vent et le besoin de survivre coûte que coûte.


Passé
Je suis venu au monde dans une petite ville de merde aux abords de Portland. Une ville si nulle que la seule chose intéressante qu’on pouvait y faire, c’était aller au centre commercial ou aller au cinéma.

C’était déjà pas un super point de départ, mais il a fallu que ma famille soit dysfonctionnelle, aussi. Ma mère était un ange, le problème, c’était mon père. Un connard d’ivrogne, violent et stupide, incapable d’éprouver de l’affection pour qui que ce soit d’autre que lui. Je me demande même encore aujourd’hui comment j’ai pu venir au monde.. Ma mère disait que ça n’avait pas toujours été comme ça mais franchement, j’ai beaucoup de mal à y croire. Il me rabaissait, me hurlait dessus, toute mon enfance ça n’a été que ça. Des cris, des larmes, des assiettes qui volent. Quand il ne criait pas sur moi, il hurlait sur ma mère, autant dire que ça ne s’arrêtait jamais. J’ai pas connu beaucoup de journées paisibles dans le cocon familial, c’est le cas de le dire.

Ma planche de salut pour ne pas péter un câble et tout plaquer pour partir et.. Devenir.. Je sais pas, moi.. Dealer ou peut-être, eh, pourquoi pas gogo danseur ? Nan, bref, passons.

Ma planche de salut, donc. Déborah, ma voisine et ma meilleure amie depuis toujours. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été bien accueilli là-bas, chez les Ly. Dès que ça chauffait à la maison, je pouvais aller me réfugier quelques heures chez les voisins et j’ai pour ainsi dire grandi avec Debbie. En grandissant, on traînait ensemble en cours, après les cours, inséparables ! Beaucoup de gens ont pensé qu’on était en couple quand on est devenus plus âgés. Moi, je l’ai toujours considérée comme ma sœur.

C’est grâce à elle que je peux dire que j’ai eu une adolescence à peu près normale. A la maison, j’étais renfermé, je n’osais pas l’ouvrir de peur de m’en prendre une.. Mais dehors, je parvenais à être quelqu’un d’autre. On a fait les 400 coups avec Déborah, c’était vraiment le bon temps..

Et puis, vers mes 20 ans, la dispute de trop. J’en ai eu marre de voir ma mère se laisser marcher sur les pieds, je me pensais honnêtement assez fort pour lui péter la gueule à ce connard.. Mais ça ne s'est pas aussi bien passé que je l’aurais voulu, j’ai été vite calmé, et je me suis tiré de là. J’ai mis du temps, mais je me suis barré. J’ai coupé tous les ponts, je restais pour ma mère mais.. Merde, quoi. Autant donner des coups de poing dans l’océan pour empêcher les tortues de s’étouffer avec des pailles, ça ne voulait rien dire.

Je me suis installé chez Déborah. A Portland, elle vivait déjà seule depuis un an et je dormais dans le canapé. Tranquille. J’ai arrêté les études et j’ai vite cherché à trouver du travail, j’en ai enchaîné plusieurs sans être vraiment spécialisé dans quoi que ce soit. J’ai commencé à kiffer ma race après ça, c’était la belle vie.. Enchaîner les soirées, les copines, c’était vraiment top de ne plus vivre dans une petite bourgade rurale de merde.

Et puis ça a commencé à merder. De partout. C’est allé plus vite j’aurais voulu l’admettre. Debbie et moi on ne vivait plus ensemble, proches l’un de l’autre, mais plus sous le même toit.

Pour moi, c’est en octobre que c’est vraiment devenu le bordel en octobre 2034. Je veux dire, j’en avais un peu rien à faire des européens t’as vu ? Mais quand on a vu des avions américains bombarder des villes frontalières canadiennes et mexicaines.. Ouais, là j’ai fait dans mon froc. On s’est dépêchés de rejoindre un de ces districts dans Portland. Dès fin novembre, c’est devenu l’enfer. Je me rappelle avoir essayé de passer un coup de téléphone à mes parents, ils n’avaient pas voulu partir de la maison. En plusieurs essais à des jours d’intervalle, ils n’ont jamais répondu. Devant Deborah et ses parents j’ai fait l’homme fort, comme si ça ne me touchait pas.. Mais dès que je me suis retrouvé seul, je me suis laissé aller. Putain.. Ces monstres horribles étaient là, à quelques kilomètres seulement de la ville.

Et putain, ça n’a pas loupé. Début décembre, c’est là que j’ai compris que tout était fini pour nous. J’ai essayé d’aider des gens, je me suis fais piétiner comme une merde. Les civils, les soldats, c’était chacun pour soi. “ San Francisco “ qu’ils disaient tous. C’était visiblement l’endroit où aller. Il y a eu des évacuations aériennes mais j’ai jamais pu monter. Debbie et moi on s’est encore retrouvés seuls.. Ses parents.. On espérait qu’ils s’en soient sortis mais elle sait aussi bien que moi qu’ils sont morts là-bas. On évite juste d’en parler. Déjà que nous on s’est est sortis de justesse.. Alors Mme Ly avec ses problèmes de dos..

Le District n’avait pas tenu, dès que c’est parti en vrille l’armée s’est bien défilée à s’enfuir sans trop penser aux civils.. On les a vu, ces bâtards. Je sais bien que c’était impossible de sauver tout le monde, mais ils auraient pu essayer de faire semblant d’êtres tristes et concernés par notre sort à nous, les civils, quand-même.

En tout cas, la vie après la chute de Portland a pris un tournant vraiment difficile dans nos vies à Debbie et moi. Survivre n’était pas facile, nous n’étions pas qu’à deux.. Enfin, pas au début. On était peut-être dix-sept ou dix-huit, retranchés dans une caserne de pompiers proche du District déchu de Portland. Avec les zombies rapides, c’était pratiquement impossible de sortir, on a dû se serrer la ceinture pour ne pas y passer. Quelques-uns d’entre nous avaient bien essayé de sortir pour aller chercher de quoi manger et tout mais.. Autant dire qu’ils ne sont jamais revenus et on a pas essayé d’aller les chercher, ça c’est sûr. On se contentait de tenir avec ce qu’on avait déjà ramené de la chute du District dans nos sacs, et en fouillant vraiment très précautionneusement les habitations juste à côté de la caserne.. C’est dans une de ces baraques que j’ai dégoté mon fusil à double canon. Dans une sorte de petit meuble d’armurerie chez quelqu’un. Je savais pas m’en servir mais ça me rassurait d’avoir autre chose qu’un pied-de-biche au cas où les choses tournaient vraiment mal. J’ai apporté un pistolet à Debbie, mais c’était pareil, ses deux ou trois cours d’autodéfense ne faisaient pas d’elle une experte en armes à feu.

On a tenu.. Woah, on a tenu assez longtemps pour que les zombies commencent à rouiller. C’est comme ça que j’appelle ça, moi, la rouille. Ces enfoirés chopent l’arthrite je sais pas quoi, ils arrêtent de sprinter, et tant mieux putain. Sinon on serait tous morts.

Notre petit groupe a tenu pendant plusieurs mois comme ça, on pensait même vraiment qu’on s’en sortait ultra bien.

On a commencé à multiplier les sorties, comme on se sentait.. En confiance. Trop, en confiance. On faisait moins attention, on a commencé à vouloir en tuer certains, fortifier la rue devant notre caserne à la con. Mais on a sous-estimé les Rouillés. Leur nombre, surtout, t’en tuais un, vingt-quatre qui arrivent derrière. Super. Si tu fais le compte, ça monte très très vite.. On a commencé à utiliser les quelques flingues qu’on avait, alors effectivement mon fusil est facile à utiliser mais tirer deux cartouches pour devoir recharger c’est pas génial.. Et puis être la cause d’une tête qui explose, j’avoue avoir dégueulé après le tout premier tir tellement c’était immonde.

On s’est vite fait submerger, et c’est là que c’est encore plus parti en couille. Mon groupe, ceux qui ne se sont pas enfuis et qui sont restés avec Debbie et moi pour essayer de repousser la rouille.. Déjà, on peut dire que j’ai remporté mon argument avec cette fille qui pensait que son katana était l’arme ultime. Grosse connasse qui avait acheté sa lame sur Wish, la lame s’est plantée dans le crâne d’un Rouillé, ça ne l’a même pas tué et elle s’est retrouvée avec juste le manche dans la main.. Enfin, ça n’a pas duré longtemps puisqu’après cette abrutie s’est faite bouffer vivante. J’ai gagné l’argument, mais à quel prix ?

Par contre maintenant, à Portland il y a un Rouillé avec une lame plantée dans le crâne et ça, c’est vraiment la classe.

Je ne parle même pas du gars qui avait une sorte d’arme médiévale sortie d’une boutique d'antiquaire de merde. Je ne sais pas comment ça s’est passé mais à un moment, je l’ai entendu hurler et puis plus rien, alors.. Je pense qu’il s’en est pas si bien sorti que ça.

On a eu de la chance de pouvoir fuir, avec Debbie. Elle a vidé son chargeur de pistolet en tremblant, je pense qu'elle n'a pas dû toucher un seul de nos assaillants. On n'a jamais retrouvé les fuyards, on était plus que deux. On a vraiment eu de la chance de tomber sur une station de taxi, les clés étaient dans un des bureaux à l’intérieur et ça c’était énorme. On a pas attendu que la chance nous quitte et on a fui la ville, mais le réservoir n'était pas assez plein pour aller très loin. De toute façon on ne savait même pas vraiment où aller..

Comme on roulait déjà vers le sud, bah.. San Francisco semblait être une destination comme une autre. On a siphonné des caisses autant que possible pour continuer à garder notre beau taxi bien jaune et bien visible.. On a croisé personne sur la route, mis à part des monstres, pendant un long moment. Quand les températures ont commencé à baisser, on est tombé en panne, plus une goutte d’essence, plus de véhicules. Le froid nous a pris par surprise. On a dû faire en sorte de bien nous préparer, on est resté plusieurs semaines Deborah et moi sur une aire de repos déserte, enfin.. Il a fallu tuer quelques Rouillés mais ça a été gérable.. On a aussi trouvé une radio, et de temps en temps, on avait l’impression d’entendre des fréquences. Il a fallu chercher un bout de temps pour faire fonctionner ce bordel qui avait l’air d’avoir cent ans.. Mais on a finalement commencé à entendre de temps en temps des voix, jamais nous signaler, on a compris que ça venait de l’armée. D’un District.

On était pas certains de la marche à suivre..

C’était vraiment pas simple, heureusement que j’avais Deborah avec moi. Comme toujours, on a fait que se soutenir mutuellement. On était tristes tous les deux, on parlait même.. Assez peu, en vrai, mais on se comprenait très bien. Pas besoin d’en faire des caisses. Quelques paroles et quelques actes suffisent pour prouver à l’autre qu’on lui est vraiment reconnaissant et qu’on la comprend. Sans elle, je ne serais pas allé plus loin que la caserne de pompiers. Elle a très vite compris comment tout ça allait finir, on ne pouvait compter que sur nous-mêmes en fin de compte. C’était elle et moi contre tous, selon elle. J’avoue que j’étais moins enclin à jouer les isolationnistes mais.. Force était de reconnaître qu’avec notre expérience au District de Portland, entre les soldats qui ont déguerpi immédiatement, ceux qui étaient des incapables et ensuite dans la caserne de pompiers les membres de notre autre groupe qui se sont enfuis dès que c’est parti en couille.. Elle n'avait pas forcément tort.

Alors on a fait un compromis. On voulait tous les deux éviter de s’installer dans un autre District qui subirait inévitablement le même sort que tous les autres. Elle voulait qu’on continue de survivre juste à deux mais j’ai insisté pour qu’on fasse en sorte de trouver une petite communauté, après près d’un an d’enfer sur terre, certains survivants devaient bien avoir appris à se débrouiller, nan ? On a donc contacté le District avec la radio. On leur a indiqué notre position, notre nombre et tout le bordel. Deux jours plus tard, des types sont venus nous récupérer. On était à quelques kilomètres au nord de la ville alors ça n’a pas été si compliqué. Ils ont pris tout ce qui pouvait leur être utile dans l’aire de repos et ils nous ont emmené à l’intérieur.

On était début décembre. C’était pas génial là-dedans. Exactement comme à Portland. On a pris quelques jours pour nous reposer. Il a fallu qu’on mente en disant qu’on était ensemble, Debbie et moi pour pouvoir vivre ensemble. Autrement, profiter enfin d’un vrai lit, c’était revigorant. Mais notre objectif était toujours clair dans nos têtes. On voulait quitter cet endroit le plus rapidement possible.

Par.. Chance ? Je sais pas trop, j’ai rencontré ce type. Howard, qu’il s’appelle. Il n'était pas du District et qu’est-ce qu’il était bavard. Coincé à l’intérieur à cause d’une blessure, il était à quelques jours de pouvoir sortir et apparemment, il avait un endroit où aller. Il.. N’avait pas l’air d’être forcément le mec le plus fiable du monde mais l’endroit dont il parlait avait l’air.. Bah, je sais pas, prometteur ? Ce n’était pas le District, et c’est tout ce qu’on voulait avec Deborah. Lui il voulait juste se barrer parce que c’était une sorte de complotiste bizarre qui avait envie de s’éloigner de son ex femme résidant dans le District, j’ai pas tout compris.  

Il a accepté de nous emmener Debbie et moi. Quand il l’a vue, d’ailleurs, il a semblé être mécontent. J’ai pas tout de suite compris pourquoi, mais bon. On a arpenté les rues de San Francisco jusqu’à rejoindre une sorte de motel. Eh, au moins on aurait des lits ! C’est là que nous avons tous les trois fait la rencontre de la femme qui était à la tête de ces lieux. Roxane. C’était pas très peuplé, plutôt bien placé.. Pour moi, c’était un début comme un autre.

J’ai aussi compris pourquoi Howard n'avait pas aimé rencontrer Deborah et pourquoi moi il m’apprécie bien.. C’est juste parce que c’est un gros raciste, en fait. Il n’y avait qu’à voir la manière qu’il avait de regarder cette femme afro-américaine dans le groupe des Troqueurs, comme ça qu’ils s’appellent. Lui je ne sais pas, mais en tout cas Debbie et moi on trouve que c’est plutôt pas si mal, ici. On verra bien comment ça va évoluer.. Pour le moment, j’essaie juste de rester impassible et de garder mes distances avec les autres. J’ai pas envie de m’attacher à des gens qui ne vont peut-être pas survivre, mais si au fond.. Je n’ai pas envie que d’autres gens meurent. C’est compliqué..



Parlez-nous de vous ! Pseudo : Shaar’Xem
Âge : 25 ans
Doubles comptes : Soo-Yun / Helen / Satya / Mary-Beth
Comment avez vous trouvé le forum ? Grâce à
Si c'est par le biais de quelqu'un, qui ? Charlotte
Un commentaire sur le forum: Juste insane en fait

Règlement signé: OK

agora
Ethan Ledger
en bref
Aventures : 307
Lieu de vie : Le Motel des Troqueurs

Heather Brooks
# Re: Ethan Ledger | Donner des titres, c'est ennuyeux. [Reboot de Howard] Mer 20 Avr - 11:20
Charmant personnage ! kawaiiii

Hâte de le croiser en RP !
Heather Brooks
en bref
Aventures : 127
Lieu de vie : District



Ethan Ledger | Donner des titres, c'est ennuyeux. [Reboot de Howard]  Signat12
Heather #a80024 et ses sœurs : Hayley 17 ans #6699cc | Harmony 15 ans #e39974 | Hannah 11 ans #e36893
InvitéInvité
# Re: Ethan Ledger | Donner des titres, c'est ennuyeux. [Reboot de Howard] Mer 20 Avr - 19:34
Toujours un plaisir d'accueillir un nouveau membre, surtout quand il ne fait pas parti de ceux qui viendront parasiter mon bureau avec des demandes dont je me contrefiche pleinement.

À bon entendeur,
Lindsey
Anonymous
en bref

Mary-Beth Oxnard
# Re: Ethan Ledger | Donner des titres, c'est ennuyeux. [Reboot de Howard] Mer 20 Avr - 19:37
Oui oui blablabla bienvenue machin truc.

Mademoiselle Bishop, un jour, vous comprendrez ce qu'il en coûte de se moquer si ouvertement de moi.

Cordialement.

M-BO.
Mary-Beth Oxnard
en bref
Aventures : 166
Lieu de vie : Le District



Ethan Ledger | Donner des titres, c'est ennuyeux. [Reboot de Howard]  Signat16
La Voix de la VieLa gardienne
# Re: Ethan Ledger | Donner des titres, c'est ennuyeux. [Reboot de Howard] Mer 20 Avr - 19:37
Bienvenue sur L-A-T-E

Fiche validée


Bon, tout me semble cohérent et correct. Le règlement a bien été signé. Du coup, je te valide et je te rajoute ta couleur dorée.

Maintenant que tu es un survivant de San Francisco, voici les prochaines étapes :

• Compléter ton profil et y mettre le lien de ta fiche de présentation

• Générer ta feuille personnage et remplir les premières cases (armes, sports et compétences utilitaires)

• Enregistrer ton avatar dans le bottin qui est ici

• Compléter les petits registres :
-le registre des membres
-le rôle de ton personnage dans son groupe [à enlever si c'est un solitaire]
-la date d'anniversaire de ton personnage, d'ailleurs essaye de ne pas oublier de lui rajouter un an quand ce dernier arrivera !
-l'enregistrement de ton animal [à enlever s'il n'y a pas d'animal]

Faire ta fiche de compétences en n'oubliant pas d'être raisonnable !


Après cela ton aventure commencera, tu pourras créer ton journal et regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire. N'hésites pas à répondre aux demandes existantes avant de créer la tienne ou à demander directement dans la zone dédiée à ça du discord.

Bon jeu à toi !
La Voix de la Vie
en bref
Aventures : 312
Lieu de vie : Cachée

Contenu sponsorisé
# Re: Ethan Ledger | Donner des titres, c'est ennuyeux. [Reboot de Howard]
en bref

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum